Laboratoires ELYSEE 2
 
Compléments Alimentaires

 

Etre en bonne santé, c’est voir la vie en rose.

Etre en bonne santé apporte le bonheur, la joie  de vivre, une espérance de vie plus longue.
Une alimentation équilibrée et variée contribue au bon fonctionnement de l’organisme, participe à la prévention de certaines maladies et permet de maintenir un poids stable. Equilibre, variété et modération sont les clés d’une hygiène alimentaire efficace,  d’où la nécessité  pour beaucoup d’entre nous de prendre des compléments alimentaires.

 
 


Etre en Bonne santé, c’est se détendre et sourire


Des études ont montré que les personnes stressées sont plus vulnérables aux rhumes et autres virus, elles ont besoin de plus de temps pour récupérer des maladies et prennent plus de poids que leurs homologues détendus.
Bien dormir est l'un des facteurs essentiels à une bonne santé et pourtant probablement celui le plus négligé.
Les aliments naturels ou complets (fruits, légumes, légumineuses, noix, grains, œufs et grains entiers, etc.) sont indispensables mais ils sont souvent transformés et traités,  d’où encore l’intérêt des compléments alimentaires naturels.

 
La Santé Naturelle
 

Alimentation et conditions de vie dégradées
Depuis les années 50, période de passage aux modes de culture et de vie modernes, notre alimentation s’est appauvrie.
D’abord, la consommation de fruits, légumes et produits frais a chuté, au profit des surgelés, conserves, snacks et autres aliments caloriques dépourvus de nutriments essentiels : pâtes, pain blanc, riz, pommes de terre.
Ensuite, les légumes et les fruits frais consommés aujourd’hui par les populations des pays industrialisés n’ont plus la même richesse nutritionnelle qu’autrefois. Donald R. Davis, chercheur associé à l’Institut de Biochimie de l’Université du Texas, à Austin, a analysé les données collectées par le Ministère de l’Agriculture des Etats-Unis en 1950 et 1999 sur le contenu en nutriments de 43 fruits et légumes cultivés. La teneur en six nutriments sur treize avait diminué dans ces produits, les autres n’ayant pas connu de variation significative. La teneur en trois minéraux, le phosphore, le fer et le calcium, avait baissé de 9 à 16 %. Celle en protéines avait baissé de 6,7 %. Celle en riboflavine avait baissé de 38 % et celle en acide ascorbique (vitamine C) avait baissé de 15 %.
Une étude britannique de contenu en minéraux des fruits et légumes cultivés en Angleterre entre 1930 et 1980 a témoigné d’une baisse similaire de la concentration en nutriments. L’étude a conclu que ce déclin indique « qu’un problème nutritionnel lié à la qualité de la nourriture s’est développé pendant ces cinquante ans ».Notre consommation d’aliments de qualité a baissé. Mais nos besoins, eux, ont augmenté.

Nos corps ont besoin de nutriments essentiels
Pour fonctionner correctement, notre organisme a besoin de matières énergétiques (glucides des céréales, graisses d’origine animale et végétale) et de matériaux de construction des tissus (protéines tirées de la viande, du poisson, des œufs et des légumes) dont le manque provoque une sensation de faim.
Il a, plus spécifiquement, besoin de certaines graisses que le corps est incapable de synthétiser lui-même (acides gras essentiels), de certains acides aminés qu’il ne sait pas fabriquer non plus (acides aminés essentiels), de nutriments comme les minéraux (calcium, magnésium, soufre), les oligo-éléments (fer, zinc, cuivre, manganèse, bore, sélénium, molybdène, etc.), les vitamines (A, B, C, D, E, K) et d’autres micro-éléments bioactifs que seule l’alimentation peut et doit lui apporter.
Ces nutriments sont des cofacteurs métaboliques indispensables au fonctionnement des milliers de réactions enzymatiques qui interviennent à tout instant, pour l’entretien et la régénération de tous les tissus et organes : systèmes digestif, respiratoire, ostéo-articulaire, cardio-vasculaire, neuropsychique, immunitaire, endocrinien, etc.
Or, contrairement aux manques de substances énergétiques et protéiques, les carences en nutriments essentiels ne sont pas détectées immédiatement par le corps. Aussi, des processus vitaux à moyen et long terme ralentissent et se dérèglent, mais nous n’éprouvons pas de sensation équivalente à celle de la faim. Ces dérèglements peuvent engendrer une plus grande sensibilité au stress et aux infections avec fatigue, anxiété, angoisse, insomnie, faiblesse musculaires, douleurs diffuses, crampes, dysfonctionnements gastro-intestinaux, tachycardie, vertiges, migraines, voire malaise et dépression ; mais nous n’interprétons généralement pas ces symptômes comme résultant de carences nutritionnelles.

L’ile des centenaires
Nous ne faisons pas suffisamment le lien entre la qualité de notre alimentation et notre santé. Certaines populations ont une alimentation naturellement équilibrée, c’est le cas des Japonais de l’île d’Okinawa qui vivent pour la plupart au-delà de cent ans.

Courbe de l’espérance de vie en France

   
  Espérance de vie en France, les départements les plus sombres indiquent une espérance plus haute
 

 Savez-vous que :

  • Fumer une cigarette fait perdre en moyenne 7 minutes d'espérance de vie, un paquet plus de 2 heures
  • Une heure d'exposition au soleil sans protection à la plage fait perdre en moyenne 2H20 d'espérance de vie aux personnes dont la peau est prédisposée aux coups de soleil, plus pour les enfants, plus fragiles.
Boire 3 à 4 verres de vin titré 12,5° d’alcool chaque jour durant  12 ans fait perdre 5 à 7 ans d’espérance de vie. 
 

Les nouveaux défis de la médecine moderne
Actuellement, deux personnes sur cinq décèdent de maladie cardiovasculaire dans les pays industrialisés. Une personne sur quatre est frappée par le cancer. Si l’espérance de vie s’est allongée de 23 ans depuis la Seconde Guerre Mondiale, la durée de vie « en bonne santé » ne progresse plus depuis les années 1972. La médecine conventionnelle a beaucoup apporté pour soigner les maladies infectieuses, ainsi que pour « sauver des vies » dans des situations d’urgence (infarctus, AVC, hépatite virale, intoxication, accidents de la route…)
Mais aujourd’hui, les « progrès » de la médecine conventionnelle ne consistent plus vraiment à guérir de nouvelles maladies.
Ce que fait la médecine, c’est qu’elle parvient à maintenir en vie de plus en plus longtemps des personnes en très mauvaise santé. Ce prolongement artificiel de l’existence se fait au prix de traitements chimiques ou chirurgicaux souvent partiellement ou totalement invalidants, douloureux, notamment à cause des effets secondaires, et en général extrêmement coûteux pour l’assurance maladie.

De plus en plus de médecins participent aux études concernant les compléments nutritionnels, le  marché des compléments nutritionnels est de plus en plus important et de nouveaux textes législatifs contrôlent leur composition. Des vérifications sont nécessaires avant d’avaler la moindre pilule, fut-elle un simple complément de vitamine C. De façon générale, aucune information émise ci et là, y compris dans ce présent texte, ne peut se substituer à un avis de spécialiste (médecin ou thérapeute). En aucun cas elles ne doivent ralentir une consultation avec diagnostic et prescription de traitement par un professionnel de santé.